"Caniche has been added to the conversation."

Publié le par N. D. Masson

Nouvelle fanfic à trois mains. Non, six, pardon, héhé.
Bref :


Il était une fois dans un pays ou il fait bon vivre quand on est un riche propriétaire de caniche a poil roux, un homme pauvre, fils de bulldozeur qui s'appelait Trabadja Bonno. Cet homme était le plus grand agriculteur de toute la région, il n'avait pas son pareil pour faire pousser de magnifiques champs de nodz même pendant la saison sèche. Mais un jour, on toqua à sa porte. C'était Jean Gloumoug, son ami d'enfance déguisé en chaise de jardin, qui lui proposa d'aller acheter des bigoudis en forme de cochon déguisé en parapluie. Cette histoire commençait bien. Very Happy

Mais sur la route, ils rencontrèrent Hortense, une amie d'enfance, fluffeuse de profession et chiante par nature, ainsi, elle leur proposa une pipe qu'ils acceptèrent par politesse. Le drame venait de commencer, Hortense était incapable d'achever le travail, profession obligé, frustré les deux homme durent compenser le manque en sodomisant une commode Louis XV, quelque part dans une horloge déguisée en mime déguisée en xylophone déguisée en immeuble de bureaux. Une fois calmés, Jean-Gloumoug commanda une pizza, leur pizza préférée, avec des petits bouts de boudin macérés dans du gruyère fondu. Quand le livreur arriva, il leur dit : "Eh, j'vous connais vous ! Vous etes le fameux detective René D4 et Jean-Françosi Premier !".
Trabadja, qui était en train d'écarteler Hortense avec une pelle et une boite de canigou lui répondit "Tu dois faire erreur l'ami, j'ai bien un cousin qui s'appelle René qui a un ami qui s'appelle Jean Françosi et qui aiment tout deux se déguiser en chose qui se déguisent en d'autres choses mais c'est surement pas nous ! Notre histoire sera bien plus intéressante, oh la ! Ouais ! Et que veux-tu au juste ?".
Jean Gloumoug acheva Hortense d'un coup de pot d'herbe a chat bien sec derrière la nuque et ajouta : "Oh, regardez, un Colibri !". Mais ça n'en était pas un, c'était un Char russe déguisé en pirate déguisé en pomme de terre déguisé en sèche-linge déguisé en colibri. Quand les deux hommes le virent, il était trop tard ! Il en sorti trouze nains de jardins déguisés en Rambo déguisés en ninja qui hurlèrent : "NOUS N'AVONS AUCUN PROBLÈME !!! NOUS SOMMES ENCHANTÉS DE VOUS RENCONTRER !!! NOUS VOUS SOUHAITONS UN AGRÉABLE VOYAGE !!!". Puis ils commencèrent à se tuer entre eux avec une fureur parfaitement inhumaine. Jean-Glamoug, qui comme si de rien n'était s'amusait à mettre des smileys entre parenthèses, s'écria soudain : "C'est Jean Gloumoug !"
"Ouapos", répondit un type bourré qui buvait des parpaings en épluchant des frites. Jean Gloumoug le regarda d'un air attentionné, comme hypnotisé. Jamais il n'avait quelqu'un aussi bien éplucher les frites tout en buvant un parpaing et en se faisant sucer par un hélicoptère. La grand-mére de Trabadja réalisa soudain, qu'elle non plus n'avait jamais vu ça. Puis elle moura de vieillesse. Trabadja, qui avait décidément un nom de merde, en fut tout émoustillé. Il décida de rejouer l'intégrale du best of de Cindy Lauper au xylophone, pour oublier sa peine.

A ce moment-là John Travolta posa son jet près de chez la voisine et il en descendit le jeune Mouhamad Diambélé qui époustouflé par l'adresse de l'éplucheur de frite buveur de parpaing ne pu s'empêcher de montrer a tous sa propre dextérité dans le débouchage de parpaing avec les pieds en dansant le zouk sur la tête. Il pensait qu'un tel prodige lui ouvrirait les portes des cabarets qui lui ouvrira it les portes d'un nouvel emploi qui lui ouvrirait les portes de l'argent qui lui ouvrirait les portes de la banque qui lui ouvrirait les portes de l'hôtel qu'il achèterait pour réaliser son rêve et devenir une bite, oui, tout simplement une bite, ceci afin de se déguiser en cercueil déguisé en profiterole déguisé en parc naturel déguisé en bruit de tondeuse, afin, tout naturellement, de séduire une perruque aveugle fan de Jean-Luc Lahaie. On a déjà perdu 3 lecteurs déguisés en mecs qui ont rien d'autres a foutre déguisés en branleurs, dit René. devant l'air ahuri de Jean-François, il précisa : c'est ce qu'on me dit dans l'oreillette. Jean-François beugla : " JEAN-LUC DELARUE, SORS DE CE CORPS ! VITE, APPELEZ UN EXORCISTE ! "
Cela tombe, bien, je suis précisément exorciste, déclama Trabadja, du haut de son prénom à chier tout droit sorti d'une chanson louche de la Légion Étrangère. Jean-Gloumoug lui demanda alors : "Eh Trabadja, tu sais que ta braguette est ouverte, eh ?" En effet, la braguette de Trabadja fut ouverte. Il en mourra sur le champs par réverbération frontale d'une crise cardiaque foudroyante avec quelques bruits de trompettes et des roulements de tambour. René était sur que c'était là, la mort la plus émouvante qu'il ait jamais vu. N'en pouvant plus, il décida de saccager le corps pour empêcher une éventuelle résurrection. Nos amis étaient définitivement débarrassés de ce type au prénom trop chelou.
Loin de là, sur la banquise un pingouin se faisait attaquer par un gant de boxe hanté dans une usine de popcorn.
Sur le point de mourir le pingouin fut sauvé par... personne ! En effet, étant dans l'impossibilité de créer un personnage il fut sauvé par le vide, un vide déguisé en tout déguisé en marguerite déguisé en Jean-Pierre Chevènement déguisé en carte postale déguisé en rhododendron déguisé en parquet déguisé en courant d'air qui fit valser le gant dans la stratosphère et qui fini sa course dans la gueule de Jean-Gloumoug qui perdit sa seule dent non cariée par ses années de mangeage de Mentos en buvant du Coca Light. A ce moment tout bascula : le déséquilibre dentaire de Jean-Gloumoug lui déplaça une cervicale qui lui déboita la hanche ce qui le fit tomber et s'empaler sur un arrosoir en cuivre de très bonne facture. Juste après cela ou peut-être un peu avant quand même, Hortense revint d'entre les morts et disa par la bouche :
"Maréchal, nous voilà !". Pwoh, eh, c'est dépassé tout ça, dit René sur le ton d'un lapin trompettiste défoncé aux anxiolytiques. Jean-François haussa les épaules. "On m'avait dit que vous étiez poujadiste à oeillères, on ne m'avait pas menti !" rétorqua-t-il. C'est à ce moment qu'apparut Jean-Marie Le Pen, en pleine crise d'identité nationale. Il tourna trois fois sur lui-même, puis grogna d'un ton de sandwich frelaté : "Les pneus de mon caniche ont besoin d'un bon coup de peinture". Alors il emmena son lave linge au cinéma pour sucer un léopard.
René qui avait assisté a toute la scène se dit a lui même, avec un ton a la tomate : "Quelle ambiance anxiogène !". Jean François approuva de la tête. C'est alors que René remarqua qu'il avait parlé tout haut.
"Un peu que t'as parlé tout haut mon vieux, on entends que toi !" rétorqua Jean François.
"Sors de ma tête Belzébute !" s'écria René ! "Je sais que c'est toi qui me joue des tours !" En effet, Belzébute, Roi des armées d'un pays bizarre où les gens se tuent avec des sortes de tubes qui lancent des boules en pique, sorta de la tête de René. Il lança alors des éclairs bleu et rouge et un peu kaki sur Jean François qui esquiva avec une dextérité qui ferait pâlir un koala coincé dans un ascenseur en panne a cause d'une grève des moines unijambiste et accessoirement réparateurs d'ascenseurs de koala. Où en étions nous, après ce cours hors sujet ? Ah oui, Belzébute trébucha sur un caribou et moura seul dans un coin en pleurant. Le pays bizarre était sauvé.
"Hourra !" s'ecria Lukeeera.


Alors qu'un wookie mangea une fourchette en pétant bruyamment ce qui fit fuir un papillon qui créa par la même occasion une perturbation qui donna un gros coup de vent qui fit tomber la robe que Sandy-Sue devait mettre le soir même pour son bal de promo ou elle devait attraper le SIDA en forniquant avec Kyle fils de l'oncle Sam cousin de l'oncle Bens qui était lui même de la famille de Mouhamad Diambélé qui ne fut pas content du tout d'être évincé avant de pouvoir devenir une bite. Il donna un coup de bite sur la nuque de Lukeeera qui mouru dans le coup sur le coup par le coup dans d'atroces souffrances car Mouhamad était aussi zoophile et il se trouvait que Lukeeera était en fait un kangourou déguisé en lune de miel déguisé en cravache déguisé en bouddhiste déguisé en bouteille de Carlsberg "Probably the best beer in the world" déguisé en personnage criant "Hourra". A ce moment même René et Jean-Françosi hurlèrent dans un élan de joie marqué d'une touche de tristesse et de bouche pleine de "lumacca piccola" pour Jean-Françosi car René n'aime que le sandwich mayonnaise, c'est bien connu, un déchirant "PAUSE §§§"
Jean-Gloumoug surrenchérit : "Ouais ! Avance ! Recule ! Pause ! Stop ! Eject !" C'est alors que René lui trancha la tête avec sa hache de 3 m qu'il était allé récupérer dans l'histoire médiévale qui se passe au moyen-âge.

Une bite énorme s'écrasa sur la planète Mars.

Jean-François, qui (comme d'habitude) n'avait pas tout suivi, demanda à René : "Eh ? Quoi se passer ?"
René, sur un ton de marteau en plastique, commença son explication par les mots suivants : "Tu vois mon ami, ce Jean Gloumoug était ton cousin et ce qu'il aimait par dessus tout c'était de se faire passer pour le héros de l'histoire, une soit-disant légende qui ne meurt jamais."
"Alors tu es l'exception qui confirme la règle" s'écria Jean-François qui venait enfin de comprendre que la fin du monde était proche qu'ils devaient tout faire pour l'en empêcher.
"Tout a fait, mon ami ! Tu as compris ! Et maintenant veut tu sucer ma b..."
René ne put finir sa phrase, car soudain, la bite géante contrôlé par le Roi maléfique Heenok apparu derrière eux, un martien empalé au bout du gland. René se dit que c'était marrant qu'une bite apparaisse là, comme ça, alors que c'est justement ce qu'il allait dire avant qu'il ne soit coupé par cette même bite.
Tellement marrant qu'il rigola, tellement trop très qu'il en fit débander la bite maléfique qui vint s'écraser molassone sur la tour Eiffel pour être empallée à son tour. Elle crilla (et c'est important le "crilla" je l'ai lu dans une copie d'élève au bahut) :
"Ouille, foutre Dieu que j'ai mal" ce qui déplut fortement à Dieu même s'il n'existe pas. Du coup, elle disparu par combustion spontanée du liquide lacrymale interne à l'ectoplasme endémique, enfin, c'est ce que Charly de Numbers et les Freres Bogdanov dirent devant Claire Chazal le soir même sur FR3. Ainsi les maquilleurs de FR3 périrent tous après les 937 heures de travail pour que les deux frères soient présentables à l'écran ce qui déclencha une guerre des vendeurs de kébab et rouleaux à pâtisseries unifiés qui étaient tous les cousins des maquilleurs. Cela fit bien moins rigoler René qui eu un geste déplacé peu explicable devant le jeune public... quoi que... en fait il a simplement levé un sourcil vers le haut. Cela ne veut pas dire qu'il est innocent... mais il n'est pas forcément coupable non plus ! Cela m'a tout l'air d'un fantasme de duel... Pourquoi ne pas ressortir les règles ! Messieurs choisissez vos armes, un témoin, et au petit jour rendez-vous sur la colline derrière les bois de Trifouilly-les-Oies. René choisit un téléphone banane, le Roi Heenok opta quant à lui pour un ventilateur pédéraste. Jean-François, évidemment, préférait jouer de la flûte. Il fut donc nommé témoin de René. Roi Heenok choisit comme témoin le martien tombé pas trop mystérieusement mais un peu quand même, mais celui-ci refusa vivement déguisé en totalement déguisé en promptement déguisé en mes couilles sur ton nez déguisé en Gérard Schivardi complètement bourré en train de mâchonner un train kleptomane. René éclata d'un rire sardonique déguisé en pute déguisée en hippopotame en cavale déguisé en sorbet démodé déguisé en salon aéronautique déguisé en Belgique déguisé en discours passéiste déguisé en cadre jaune, qui s'écria soudain : "A l'assaut bière pute russe drogue !" Tout ce charabia avait choqué le Roi Maléfique Heenok qui, depuis qu'il était maléfique, refusait d'entendre les mots "bière pute russe drogue". Il entra dans une rage monstrueuse, une colère anxiogène, une stupeur jaune caniche et tout le tralala.
Jean François qui jouait du flutiot fut vaguement impressionné par cette aura monstrueuse qui puait autant qu'un frigo rempli de fromage à raclette périmé. René pris le micro et annonça a la foule déchainée : "Ne vous inquiétez pas, le fromage n'est pas tant périmé que ça !" Ce qui poussa la foule à manger l'aura maléfique du Roi Heenok et les transforma en Zombies Nazi-Communistes déguisés en lapin de Happy Tree Friends déguisé en char Leclerc déguisé en armée de pokémon qui partirent se battre contre l'union des vendeurs de kébabs et de rouleaux à pâtisserie. Malheureusement pour les pokémons maléfiques l'union était faite de pères de famille dans le coup qui avaient tout appris leur classiques de chez Nintendo et ils leur niquèrent la gueule de façon rapide et efficace ce qui méritait une photo Polaroïd en mode sépia surexposé. Alors que le martien se tapait un chamalow grillé sur un poële à mazout.

René dit au Roi Heenok plus si maléfique que ça par manque d'aura :
"Mais ça ne veut carrément plus rien dire vos conneries !" Jean-François acquiesca, puis se déguisa en contrebasse fumiste déguisée en parenthèse croisée déguisée en diagonale déguisée en Mac Gyver à moustache déguisé en clé à molette coiffée comme les Beatles. C'est à ce moment que Beethoven revint d'entre les morts, et sur le ton de Jacques Chirac défoncé à la cocaïne, il fulmina :
"Ouais !" cria-t-il. Ce n'est pas parce que plus personne ne lit qu'il faut écrire n'importe quoi ! C'est plutôt le moment de prendre l'apéro. "Ricard !" hurla Patrick.
Tous : "Patrick ?!"
Le dénommé Patrick moura peu aprés des suites de lésions santiaguesque aux testicules.
"Trés efficace tes santiags, Beethov'" lui dit Jean François.
"Eh, merci Jean Trucmuche !"
Et ils buverent tous a la santé du colonel, tout particulièrement.
"La fin de notre aventure est proche" annonça soudain Luke Skywalker. Puis il sauta par la fenêtre.

Intrigué, un inconnu sans nom que personne ne connait à cause de son anonymat vint et posa une question lourde de sens : "Une fin, est ce bien raisonnable après un début si prometteur ?!"
Peu après il mourut une flèche entre les deux yeux mais surtout le gauche d'un cancer du col de l'uterus. René lâcha une larme de joie face a tant de souffrance et du sortir son mouchoir pour l'essuyer. Erreur fatale ! En sortant son mouchoir il venait d'effacer une partie du passé et de l'avenir, il était désormais bloqué dans le présent et il n'y avait rien qu'il détestait plus, a part tout ce qu'il détestait plus mais quand même. Ainsi un canard déguisé en jupe déguisé en contrepèterie déguisé en organisme bicellulaire tricephallé déguisé en rouflaquette déguisé en truite déguisé en annonceur de fin hurla à qui voulait l'entendre mais surtout pour ceux qui s'en foutait : "BON ALORS, C'EST FINI OUI ?"

Jean-François, René et Ludwig s'écrièrent en choeur : "Mais ! Mais bien sûr que oui !"

FIN (au cas où t'avais pas compris, connard.)

Publié dans Humour - Délire

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